My Fair Lady

1993-1995

Comédie Musicale de Frederick Loewe d’après la pièce de Georges Bernard Shaw

Adaptation et mise en scène Alain Marcel assisté de Christophe Mirambeau et Gregory Antoine, direction Claude Cuguillère

Chorégraphies de James Sparrow, Costumes David Belugou, Lumières,Laurent Castaing

Opéras de Liège/ Rouen/Reims/ Metz/Avignon/…

Avec Bernarrd Alane, Alexise Yerna, Pierre- Yves Duchesnes, Bernard Larmande, Hélène Duc, Edith Perrett, Anna Gaylor, Agnès Bove, Patricia Setbon, Gilles Vajou, Bernard Valdeneige, Franck Licari

Argument

L’action se passe en 1912 à Londres et les environs.
À la sortie de l’Opéra de Covent Garden, le professeur Higgins, distingué linguiste qui s’intéresse particulièrement aux parlers populaires, observe avec intérêt Eliza Doolitle, petite vendeuse de fleurs, qui parle le plus pur cockney des bas quartiers. Au colonel Pickering, autre spécialiste de la linguistique, il affirme être capable de transformer son élocution et même d’en faire une lady.

Eliza reste rêveuse. Soucieuse d’apprendre à « causer » mieux, elle se rend chez Higgins pour lui demander des leçons. Le professeur accepte et décide de la loger chez lui, où habite également Pickering, et de faire son éducation. Il faudra bien des larmes et des moments d’exaspération pour aboutir à des résultats concrets. Enfin la jeune fille parle correctement.

Une première apparition aux courses, au cours de laquelle elle fait la connaissance de la mère d’Higgins… et du jeune Freddy n’est pas concluante. Six semaines plus tard, au bal des Ambassades, Eliza, adorable de grâce et de beauté, enthousiasme tout son monde, même la reine de Transylvanie. Au retour, Higgins et Pickering se congratulent égoïstement sans un mot pour l’héroïne de la soirée, sans égard pour le travail qu’elle a fourni. Eliza leur reproche d’avoir fait d’elle une poupée mondaine. Comme Higgins lui prodigue de cyniques conseils, elle décide de s’en aller. Devant la maison, elle éconduit le jeune Freddy qui lui fait une déclaration d’amour.

Elle se réfugie chez la mère du professeur où celui-ci finit par la retrouver après avoir cherché en vain un peu partout. Au cours d’une longue scène, il lui avoue avoir besoin d’elle mais elle se dérobe, avec coquetterie et dignité. Higgins rentre tristement chez lui… Tout est terminé ? Non, la porte s’ouvre lentement et Eliza paraît…